Aller au contenu

Cedric Lemaitre

Artisan / Professionnel du cycle
  • Compteur de contenus

    28
  • Inscription

  • Dernière visite

Réputation sur la communauté

0 Neutre

À propos de Cedric Lemaitre

  • Date de naissance 08/07/1982

Informations

  • Localisation
    Saint-Julien-Sur-Dheune

Visiteurs récents du profil

3 499 visualisations du profil
  1. Je vai faire dans le raccourci pas jojo : L'acheter cycliste se branle la nouille pour vendre du papier jouant sur les peurs et fantasmes!
  2. Un site de bone qualité et qui vaut la visite : http://www.velochannel.com/
  3. J'ai lu ce dossier, il est techniquement limiter à la façon de penser d'Alban Lorenzini qui n'a pas de contradicteur dans cet histoire. Si une bonne partie de l'article est d'un contenu très correct et précis, on en ressort que le SRM est le seul bon capteur du marché. Oui mais c'est une vision très étroite et réductrice. En effet, le SRM est intrinsèquement le plus performant mais uniquement pour des mesures au dessus de 1000W. Valeur au dessus de laquelle, les autres ont une erreur absolue (et donc pas une erreur de répétabilité) plus importante. Mais en pratique qui a besoin d'une précision importante au dessus de 1000W à part peut être les meilleurs pistards et sprinters du monde pour mesurer exactement leur potentiel et leur progression. Donc les conclusions de l'article sont à relativiser. Enfin comme d'habitude, la rédaction de l'AC nous offre un peu de science fiction (cf reprogrammation) qui aurait plus sa place dans Gala que dans une revue sérieuse de cyclisme. Au niveau article sur les capteurs de puissance, je vous conseille celui de Guillaume Judas dans un velomag de ce début d'année.
  4. Pour ce qui est du réglage de l'ISM pour ceux qui cherche voici un article ou je résume le réglage du recul et de l'horizontalité! http://velo-trainer.fr/ism-attack-test/
  5. Oui c'est la bonne démarche que je conseille également. Je viens de monter des osymétric pour un client. Je suis très très dessus du produit : - info pour le montage très faible - pas la possibilité d'utilisé tooutes la cassette sur tous les pignons sans la chaine saute ou frotte Je reste sans contexte pro-rotor
  6. Sinon pour t'aider un peu dans ta réflexion, tu peux lire cette article que j'avais écrit sur le sujet, il y a quelques temps. http://velo-trainer.fr/choix-de-la-taille-de-velo-ou-de-cadre-partie-1/ et http://velo-trainer.fr/choix-de-la-taille-de-velo-ou-de-cadre-partie-2/
  7. Je pense que même si tu as trouvé un bénéfice à cette courbe de 15%, il ne faut pas oublier que la courbure est propre à chacun. Cette courbure est en partie dû à la posture et au qualité musculaire de chacun... En ce sens le système OCP de rotor est particulièrment bien.
  8. Je vous rejoints Bjorn et Vincent sur cette analyse. Il existe effectivement un nombre de taille moi important pour un même cadre chez les constructeurs ce qui donne lieu à des érésies : Nombre de bague sous la potences incroyable et dangereuse - Potence aux dimensions extrêmes. Il y a quand même quelques exceptions. Chez Colnago, de Rosa et Pinarello, il y a sur quelques modèles un nombre de tailles très importantes. Chez Trek, avec les géométries Pro et cyclo, il est possible d'avoir un cadre avec un nombre d’entretoise et longueur de potence "raisonnable" pour une très majorité d'utilisateur. En ce qui concerne les vélocistes, le gros problème est qu'ils positionnent majoritairement d'un point de vue esthétique et en ayant comme repère les pro... Ceci donne lieux des moutons à 5 pattes!
  9. Ce débat m'inspire et me rappelle 2 choses : Concernant l’inflammation du périnée D'une part il ne faut pas laisser ce genre de chose s'installer, ce n'est pas normal, il faut vérifier dans l'ordre : - la hauteur de selle - le recul de selle - l'ergonomie de la selle De plus, il faut que sur des sorties longues que si ce genre de chose apparaissent, il est possible de les traiter afin d'éviter inflammation et nodules. Une méthode qui fonctionne et qui est employée chez les pros est la suivante : - appliquer de la glace sur le périnée (NB : la glace doit être contenu dans un une servette) - appliquer un mélange sur le périnée de Bépantène, Homéoplasmisne & Cicalfate (en quantité égale) pour la nuit - utiliser une crême pour cuissard, le produit phare restant celle de chez assos Concernant le 29" Je ne suis pas totalement de l'avis de Vincent sur le 29". L'intérêt principal du 29" est la capacité de celui-ci de gommer les bosses, fossés... afin de les passer plus facilement qu'avec un 26". Cependant la grande taille des roues limites un peu la possibilité de géométrie en petites tailles. Par exemple Orbea pour 2014, ne propose pas de taille S pour son modèle 29". Dans ce genre de taille, il faut mieux envisager un modèle en 27,5".
  10. Non, il n'y aura pas de grincements si la tension finale du montage est suffisamment importante! C'est à dire 100kgf sur le coté RL. Dans ce cas, il faut déjà remettre de la tension dans la roue et si nécessaire utiliser la ligature.
  11. En fait, tu n'as pas pour l'instant un problème de choix de taille mais un problème de posture. Il est d'abord nécessaire de résoudre celui-ci en faisant une étude posturale par exemple puis ensuite une fois la position déterminée et validée, tu pourras choisir un nouveau cadre, un look ssi la géométrie est compatible avec ta posture.
  12. Bonjour, Je pense que tu parles du contact lors du croisement des rayons. Je vais déjà répondre en 2 temps. D'une part sur l'utilité du croisement et d'autres part le contact ou non de croisement. Utilité du croisement - Pourquoi croiser? Transmission du couple de pédalage Le rôle d'une roue arrière est de transmettre de le couple de pédalage pour faire avancer les solides "Vélo+Cycliste". Pour cela le couple est conduit via la transmission pour être appliqué au niveau du moyeu sur le corps de roue libre. Le couple est en très grande partie (80%) transmis au rayon par la flasque située prêt du coté roue libre (RL) - Il existe des exceptions notamment pour les moyeux Powertap. Or le couple sera transmis à la jante via les rayons de façon optimal d'autant plus si les rayons sont positionner de façon tangentiel au flasque. Par conséquent si on veut transmettre de façon optimal le couple, il faut donc croiser les rayons de manière à ce qu'ils soient le plus tangent possible. Par exemple, on croise par 2 pour un perçage de 20h, 24h et par 3 pour un perçage de 28h, 32h ou 36h et enfin par 4 pour 40h. Pour ce qui est du coté opposé roue libre (ORL), on utilise le croisement qui favorise au maximum l'angle du parapluie (plus de rigidité) ET l'équilibre des tensions ORL/RL (plus de fiabilité, moins de casse de rayons par fatigue). Très généralement je favorise le même croisement ORL que RL de manière à avoir une "symétrie des" contraintes appliquées. Pour les roues avant des routes à freinages sur jantes, il n'y a aucun couple de propulsion appliqué, on peut donc rayonner en radial (0 croisement) sans problème. Répartition des contraintes de freinage pour les freins à disques Les croisement jouent également un rôle lors du freinage à disques, en effet les forces en jeu lors du freinage sont grâce au croisement réparties sur une portion plus importante de la jante. De cette manière on réduit les risques de rupture des flasques du moyeu ainsi que les potentielles fissures des perçages de la jante. Avec où sans contact? Vous le faisiez remarquer, lors du dernier croisement (third cross sur la photo ci-dessous), on entrelace les rayons afin qu'ils soient contact. Cette opération n'est pas nécessaire, on peut les laisser sans contact. Le but du contact est de répartir les contraintes appliquer sur le rayon sur un ensemble rayons. Enfin le croisement avec contact permet d'envisager une éventuelle ligature ce qui est impossible sans contact. Enfin, il faut savoir que les industrielles utilise un croisement sans contact dans le but de réduire les nuisances de grincement des rayons. En effet, les machines utilisées lors du montage en grande série, ne permet pas d'obtenir une grande tension dans les rayons ce qui à l'inverse du montage artisanale crée des grincements.
  13. Pour apporter ma pièce à l'édifice sur la définition du bon vélociste, je vous conseille de lire les commentaires de cet article : http://www.matosvelo.fr/index.php?post/2013/09/19/Certains-velocistes-ont-oublie-ce-que-service-veut-dire
  14. Malheureusement les compétitions particulièrement durs à monter. Il arrive qu'on soit 2 pour les mettre...
  15. Oui ça aide à la "détendre". On peut ajouter que les boyaux devraient être stocké 6 mois gonflés (3-4bar) sur de veille jante. Attention les boyaux hautement vulcanisés ne nécessitent pas séchage : Vittoria, Continental, Mavic, Michelin et Tufo par exemple.
×
×
  • Créer...